Le Gibike est un vélo électrique citadin de 17 kg, limité à 25 km/h, dont le pliage ne dure que 3 secondes selon les concepteurs argentins. QoK4mR0VR7ghvIPSMBJ9KvXBh2BUrdtE0qAeBADELXJclh5qNC1SBZ5U6SLSliiAtb5DGA=w1594-h1035Il suffit en effet d’ouvrir un levier de serrage rapide au bas du tube diagonal, de lever le vélo par cette poignée, tout en gardant l’autre main au guidon, pour voir les deux roues s’aligner côte à côte et l’ensemble reposer sur la selle. Ensuite, il suffit de légèrement lever la selle du sol pour pouvoir pousser le vélo à côté de soi. Si l’ensemble prend peu de place au sol (90 cm), en revanche il en prend plus en hauteur (102 cm) et en largeur par son guidon (66 cm). C’est un des rares vélos pliant à avoir des roues de 26 », bien plus grandes et sécurisantes que les habituelles 20 »’ des modèles habituels. Son moteur est central, pourvu d’un pédalier spécifique à axe creux géant, qui entraîne une courroie (Carbon Gates) vers la roue arrière propre à la marque, tout comme l’avant, avec leurs 16 rayons couplés deux à deux au niveau de la jante. Ces roues sont spécifiquement étudiées par Gibike et reçoivent des pneus de 1,5 » de large. La batterie Li Fe Po (6Ah) est logée dans le tube diagonal et son autonomie est donnée pour plus de 64 km. La commande se fait via smartphone, avec 5 niveaux d’assistance, plus une position automatique. Il y a également possibilité d’anti-vol par verrouillage des freins à disque et l’allumage des lampes intégrées se fait par détection d’assombrissement. Etrangement, le frein avant est mécanique, tandis que l’arrière est hydraulique. Le contraire eu été plus logique. Une version sans assistance annoncé à 12 kg est également prévue. Le projet est en financement sur Kickstater et il ne reste plus qu’une semaine pour atteindre les 400.000$ de financement nécessaire. Pour l’acquérir, il faudra débourser 2590$ pour la version sans moteur et 2999$ pour la version motorisée. Les frais d’envoi s’élèvent à 375$, auxquels il faut encore ajouter des taxes d’importation.